On devenait jadis piqueux « de père en fils » ou encore en démarrant comme valet de chien. Les équipages étaient jadis plus riches. Ils pouvaient compter trois personnes salariées dont l’un finissait par devenir piqueur en remplaçant un départ. Les choses ont bien changé et les recrutements sont délicats. C’est pour répondre à ces changements que vient d’être crée l’Ecole des piqueux dont le but est de former des « Techniciens canin et équin en vènerie » mais aussi de promouvoir la pratique de la vènerie.