Pierre Rigaux est passé maître dans l’art de chercher l’affrontement pour faire des vidéos … mais cette fois il s’est fait prendre à son propre piège.
Ce week end, Pierre Rigaux était encore sur le terrain pour « documenter » comme il le dit sur la chasse à courre. Mais s’il pensait trouver de quoi faire le buzz, il s’est bien trompé.
Mais que va pouvoir ressortir Pierre Rigaux de cette vidéo ?
Par quel miracle de montage vidéo va-t-il pouvoir nous faire prendre des vessies pour des lanternes ? On ne peut que féliciter les veneurs qui ont fait preuve d’un grand sang-froid. Il y a moins d’une semaine justement, Pierre-François Prioux, Président de la Société de Vènerie appelait à ne pas répondre aux provocations
60|Compiègne Depuis l’affaire du cerf abattu dans un jardin, en 2017, la fronde s’est étendue, mobilisant des personnalités comme Yann Arthus-Bertrand ou, ce vendredi encore, Brigitte Bardot. Reportage.
« Allez, en meute ! » Il est le « piqueux », celui chargé de mener la meute et de diriger la chasse en claquant son fouet en l’air. Devant lui, une quarantaine de chiens écoutent et se regroupent. « Ils sont impatients », remarque un suiveur. Pour le dernier samedi de vénerie de la saison, la foule s’est massée pour accompagner l’équipage de la Futaie des amis, en forêt de Compiègne (Oise). « Comme quoi, la chasse à courre ça plaît », s’émerveille un valet de limier devant le nombre de véhicules et de vélos garés au pied de la maison forestière du Hourvari, lieu du rendez-vous et du départ de la traque.
Membre du collectif Abolissons la vénerie aujourd’hui (AVA), elle avait comparu devant le tribunal de Compiègne le 24 janvier. Le tribunal a rendu son jugement ce vendredi 28 mars.
Reconnue coupable mais dispensée de peine, « au vu des circonstances de commission des faits et des pièces apportées à l’audience ». Militante au sein du collectif Abolissons la vénerie aujourd’hui (AVA), Gwendoline n’était pas présente ce vendredi 28 mars au tribunal de Compiègne pour entendre le jugement rendu. (suite…)
L’Acca la Saint-hubert a organisé une chasse à courre, mais chevreuils et sangliers ont remporté la bataille.
L’association de chasse communale agréée la Saint-Hubert a invité le vautrait Vallière pour une chasse à courre au sanglier le samedi 8 mars. Cette manifestation traditionnelle a encore une fois attiré beaucoup de monde, parmi lesquels on trouvait de nombreuses personnes des ACCA de la région. Mais si des chasseurs étaient présents, ils n’étaient pas les seuls, car plusieurs chasseurs d’images étaient venus pour capturer de belles prises de vues. Ils se sont positionnés dans des endroits stratégiques où, pensaient-ils, la chasse devait passer avec la bête suivie par la meute de chiens, ainsi que la vingtaine de cavaliers.
Le vice-président de la Société de vénerie rebondit sur l’affaire du cerf tué chez Luc Besson pour défendre la pratique de la chasse à courre. Les images d’un cerf abattu sur la terrasse d’une propriété de Luc Besson, en Normandie, diffusées la semaine passée, ont heurté la sensibilité de bon nombre de personnes.
Les nombreux débats télévisés ou radiophoniques qui ont suivi (pour certains bien peu respectueux du contradictoire…) l’ont montré. L’enquête ouverte par le parquet d’Argentan, suite à la plainte du réalisateur, permettra de faire toute la lumière sur cet incident, et c’est heureux : la chasse, en France, est une activité légale et encadrée. Ainsi, tout acte illégalement commis doit être sanctionné par la loi.
Sélectionné pour représenter les Hauts-de-France en 2025 dans l’émission «Le village préféré des Français», sur France 3, Longpont souhaite mettre en avant son patrimoine ainsi que la chasse à courre, tradition chère au village.
En lice parmi treize autres villages de France, Longpont annonçait il y a une semaine sa participation à l’émission «Le village préféré des Français». Ce lundi 24 février 2025 était l’occasion pour le maire Gilles Davalan et les différents acteurs du village, Rosamée De Lacheisserie, propriétaire de l’abbaye, Pascal Hoche, ancien aubergiste de Longpont, et jeanne Roussel, conseillère départementale, de discuter des points forts de la commune.
Le chasseur français – lun. 17 févrierKarl Reille, figure incontournable de la vénerie française, a marqué le XXe siècle par son talent unique en tant que peintre animalier. Ses œuvres, imprégnées de passion pour la chasse à courre, immortalisent avec précision et poésie les scènes de vénerie et les animaux en pleine action.
Karl Reille (1886-1975) incarne une double vocation rare : celle d’un veneur passionné et d’un artiste animalier exceptionnel . Né à Paris dans une famille aristocratique, il s’est rapidement distingué par son talent pour le dessin et son amour de la chasse. De ses aquarelles délicates à ses huiles vibrantes, il a su capturer l’essence même de la vénerie, qu’il pratiquait autant qu’il peignait. À travers ses œuvres, il a non seulement documenté les traditions cynégétiques françaises, mais aussi imprimé une esthétique propre.
Assaillie par des pétitions, vilipendée par Yann Arthus-Bertrand, critiquée par une majorité de médias, cette belle tradition française mériterait d’être pérennisée.
La vènerie ou chasse à courre fait partie intégrante de la culture française. Avec plus de 400 équipages en France, ce mode de chasse est présent dans l’ensemble de nos régions. On compte près de 10 000 adhérents, 100 000 suiveurs, 30 000 chiens et 10 000 chevaux : la chasse à courre fait vivre beaucoup de monde. Elle assure aussi la protection de nombreuses races de chiens (anglo-français, poitevins, gascon-saintongeois, harriers, beagles, Bruno du Jura, etc..). Si, dans l’ensemble, les Français l’acceptent et même la soutiennent, l’offensive ne faiblit pas. Récemment, une pétition dans le journal « Le Monde » a été signée par une cinquantaine de personnes ; Yann Arthus-Bertrand a aussi jeté tout son crédit abolitionniste dans la balance.
53 élèves de 6e du collège Saint-Joseph se sont familiarisés à la chasse à l’arc et à la vénerie lors d’une sortie au bois de Parnay à Vernoil.
Jeudi 30 janvier, les 53 jeunes de 6e option nature du collège Saint- Joseph ont pu se rendre à Vernoil, au bois de Parnay, chez Stéphane Portier, où ils ont retrouvé Ismaël Lécrivain pour une présentation des différentes missions des chasseurs.
Les collégiens ont également pu rencontrer deux chasseurs à l’arc qui leur ont expliqué la démarche de cette pratique en insistant sur leur éthique : chasser, c’est savoir ne pas tirer. Puis, les jeunes ont pu à leur tour essayer de tirer avec un arc, sous les encouragements de leurs camarades.
Le Rallye saintongeais, une société de vénerie locale, recevait dans la forêt de la Coubre ce samedi 25janvier un rallye ami, celui des Ardennes-Campine, pour une poursuite au brocard. L’équipage invité est originaire de Sainte-Menehoulde, dans la Marne. Cettecompagnie est essentiellement composée de membres venus de Belgique, pays où la chasse à courre est interdite depuis 1995, année où, justement, leRallye saintongeais invitait son homologue pour la première fois.
Liens étroits
Jean-Jacques Boutrot et Édouard de Fierlant, maîtres d’équipage respectifs duRallye saintongeais et du Rallye des Ardennes-Campine, ont rappelé les liens amicaux étroits qui unissaient les deux sociétés. Le rallye ardennais a fait le déplacement avec une dizaine de suivants, dont six sonneurs et 12 chiens.
Dans son édito de la Société de Vénerie, Antoine Gallon revient sur la question de savoir si il faut emmener les enfants à la chasse. Prenez le temps de lire son analyse.
Dans son numéro du 30 juillet dernier, le Figaro s’interrogeait sous la plume du pourtant peu progressiste Paul Sugy sur une question qui fait débat : « faut-il emmener des enfants à la chasse ? ». Antoine Gallon de la Société de Vénerie répond à cette question dans un éditorial que nous vous partageons. Nous avons en effet beaucoup aimé son analyse très pertinente.
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