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Karl Reille : maître de la vénerie et virtuose de la peinture animalière

Le chasseur français – lun. 17 février
Karl Reille, figure incontournable de la vénerie française, a marqué le XXe siècle par son talent unique en tant que peintre animalier. Ses œuvres, imprégnées de passion pour la chasse à courre, immortalisent avec précision et poésie les scènes de vénerie et les animaux en pleine action.

Karl Reille (1886-1975) incarne une double vocation rare : celle d’un veneur passionné et d’un artiste animalier exceptionnel . Né à Paris dans une famille aristocratique, il s’est rapidement distingué par son talent pour le dessin et son amour de la chasse. De ses aquarelles délicates à ses huiles vibrantes, il a su capturer l’essence même de la vénerie, qu’il pratiquait autant qu’il peignait. À travers ses œuvres, il a non seulement documenté les traditions cynégétiques françaises, mais aussi imprimé une esthétique propre.

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Sauver la vènerie

Le Betteravier français – lundi

Assaillie par des pétitions, vilipendée par Yann Arthus-Bertrand, critiquée par une majorité de médias, cette belle tradition française mériterait d’être pérennisée.

La vènerie ou chasse à courre fait partie intégrante de la culture française. Avec plus de 400 équipages en France, ce mode de chasse est présent dans l’ensemble de nos régions. On compte près de 10 000 adhérents, 100 000 suiveurs, 30 000 chiens et 10 000 chevaux : la chasse à courre fait vivre beaucoup de monde. Elle assure aussi la protection de nombreuses races de chiens (anglo-français, poitevins, gascon-saintongeois, harriers, beagles, Bruno du Jura, etc..). Si, dans l’ensemble, les Français l’acceptent et même la soutiennent, l’offensive ne faiblit pas. Récemment, une pétition dans le journal « Le Monde » a été signée par une cinquantaine de personnes ; Yann Arthus-Bertrand a aussi jeté tout son crédit abolitionniste dans la balance.

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De la chasse à l’arc à la vénerie

Le courrier de l’Ouest – lundi 3 février 

53 élèves de 6e du collège Saint-Joseph se sont familiarisés à la chasse à l’arc et à la vénerie lors d’une sortie au bois de Parnay à Vernoil.

Jeudi 30 janvier, les 53 jeunes de 6e option nature du collège Saint- Joseph ont pu se rendre à Vernoil, au bois de Parnay, chez Stéphane Portier, où ils ont retrouvé Ismaël Lécrivain pour une présentation des différentes missions des chasseurs.

Les collégiens ont également pu rencontrer deux chasseurs à l’arc qui leur ont expliqué la démarche de cette pratique en insistant sur leur éthique : chasser, c’est savoir ne pas tirer. Puis, les jeunes ont pu à leur tour essayer de tirer avec un arc, sous les encouragements de leurs camarades.

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Un équipage de la Marne en visite pour une chasse à courre

Sud-Ouest – mardi 28 janvier

Le Rallye saintongeais, une société de vénerie locale, recevait dans la forêt de la Coubre ce samedi 25janvier un rallye ami, celui des Ardennes-Campine, pour une poursuite au brocard. L’équipage invité est originaire de Sainte-Menehoulde, dans la Marne. Cettecompagnie est essentiellement composée de membres venus de Belgique, pays où la chasse à courre est interdite depuis 1995, année où, justement, leRallye saintongeais invitait son homologue pour la première fois.

Liens étroits

Jean-Jacques Boutrot et Édouard de Fierlant, maîtres d’équipage respectifs duRallye saintongeais et du Rallye des Ardennes-Campine, ont rappelé les liens amicaux étroits qui unissaient les deux sociétés. Le rallye ardennais a fait le déplacement avec une dizaine de suivants, dont six sonneurs et 12 chiens.

 

Faut-il emmener des enfants à la chasse ?

Le Chasseur Français – sam 11 janvier 2025

Dans son édito de la Société de Vénerie, Antoine Gallon revient sur la question de savoir si il faut emmener les enfants à la chasse. Prenez le temps de lire son analyse.

Dans son numéro du 30 juillet dernier, le Figaro s’interrogeait sous la plume du pourtant peu progressiste Paul Sugy sur une question qui fait débat : « faut-il emmener des enfants à la chasse ? ». Antoine Gallon de la Société de Vénerie répond à cette question dans un éditorial que nous vous partageons. Nous avons en effet beaucoup aimé son analyse très pertinente.

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À Fontainebleau, Oudry a du chien

Le Figaro – ven 10 janvier 

Le château, qui abrita la capitainerie des chasses, expose en majesté le grand peintre animalier du XVIIIe siècle.

Hauts les cors ! Dans les 3 000 arpents du domaine de Fontainebleau, la pluie hivernale ne décourage pas plus les chasseurs que les esthètes. Au château, qui met en valeur quelques-unes des grandes battues de Jean-Baptiste Oudry (1686-1755), le peintre animalier préféré de Louis XV, la chasse est lancée. Tableaux, cartons de tapisserie et tapisseries, orfèvrerie (tel cet incroyable surtout de table du duc de Bourbon, 40 kg d’argent ciselé par Jacques Roëttiers et venu du Louvre), dessins de détail ou de présentation au commanditaire, pièces de porcelaine, gravures : tout concourt ici à la mise en valeur de cet homme de cour comme de courre, qui, en son temps, suscita une véritable « Oudrymania ».

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À la MFR de Bournezeau, des actions pour l’environnement et contre le harcèlement

Ouest France – mar. 7 janvier 2025

Cette année, la MFR a proposé une nouvelle formation de technicien canin et équin en vénerie aux personnes qui gèrent les chenils et écuries de chasse à courre. « Un projet d’ouverture d’une nouvelle formation est en cours, avec un CAP métier de l’agriculture option élevage équin. »

L’assemblée générale de la Maison Familiale Rurale s’est déroulée, jeudi 26 décembre 2024, en présence des élèves, parents, moniteurs, salariés et partenaires. Les actions pour l’environnement ont été présentées.

Quand le lexique de la chasse s’invite dans notre quotidien

Le Chasseur Français – ven 13 déc

Des forêts aux salons, les termes cynégétiques parsèment notre vocabulaire quotidien. Petit florilège de ces mots ou expressions qu’on doit au registre de la chasse.

Ce n’est qu’un mystère pour personne. Le monde de la chasse est régulièrement attaqué. Le président de la FNC, Willy Schraen, le rappelle à l’envi. Le Congrès de la Fédération de l’an passé fut même une occasion de dénoncer « la morale verte », un nouveau mode de pensée , une attaque qui ne s’arrête pas à la chasse mais bien à notre mode de vie rural.

Malgré les débats qu’elle suscite, la chasse a laissé une empreinte indélébile sur notre langue. Nombre de nos expressions courantes trouvent leur origine dans le vocabulaire cynégétique.

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Joël apprend comment sonner la trompe de chasse

Ouest France – sam. 7 décembre

La trompe de chasse, instrument de prédilection pour la chasse à courre, existe depuis le XVIIIe siècle, sous Louis XV. Joël Sébire nous en livre ses particularités.

Pourquoi ? Comment ?

Quelle est la particularité de la trompe de chasse ?

Cet instrument est utilisé pendant les chasses à courre. Ce sont les chiens qui courent et les chasseurs n’ont pas de fusil. « Il y a des grands équipages qui chassent le cerf mâle, le chevreuil et le sanglier. Moi, je faisais partie d’un petit équipage, une petite vénerie. Nous avions, par exemple, dix-huit chiens pour chasser un lièvre », explique Joël Sébire, professeur directeur de l’École de trompes de la Suisse normande, à Thury-Harcourt, également délégué régional de la Fédération régionale des trompes normandes depuis douze ans.

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L’école des Piqueux : premières semaine de cours

Le Chasseur Français – sam. 30 novembre

Depuis le 1er octobre, 10 futurs piqueux sont en formation en alternance dans une MFR et dans des équipages.

Les dix élèves recrutés pour faire partie de cette première promotion de l’école des piqueux suivent une formation en alternance à la Maison Familiale Rurale de Bournezeau en Vendée et dans l’un des dix équipages qui avaient accepté de les embaucher. Cette formation dispensée sur 10 mois. En alternance de cours théoriques (11 semaines dans une Maison Familiale Rurale) et de pratique dans un équipage de vènerie (32 semaines).

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La chasse à courre « une pratique moderne et écologique », se targue le président de la Société de vènerie

Actu.fr – ven 29 novembre

Pierre-François Prioux joue aux équilibristes. Conscient du déficit d’image dont souffre la pratique, le président de la Société de vènerie ouvre les portes d’un monde jugé fermé.

Depuis mai 2022, c’est lui le patron de la chasse à courre : Pierre-François Prioux. Le nouveau président de la Société de vènerie, élu, se dit « combattif ». Avec de premier défi, combler le déficit d’image dont souffre la pratique, héritée du Moyen Âge, il a décidé d’ouvrir en grand les portes de ce monde qui vivait en vase clos.

Face aux militants anti-chasse, téléphones à la main, à l’affût de la moindre vidéo au potentiel viral, Pierre-François Prioux veut montrer patte blanche. « Ouvrir » le dialogue et surtout « ancrer la vènerie dans le XIXe siècle ».

Cet ancien professeur d’histoire-géographie, a lui-même créé son équipage : le Rallye Tempête. « En hommage au nom d’un chien », lâche-t-il. Et depuis, il parcourt la France entière, à la fois pour chasser, mais aussi pour comprendre comment réinventer cette pratique aux legs d’un autre temps. Interview.

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Les veneurs célèbrent leur saint patron Hubert

Toutes les Nouvelles – mer. 20 nov.

Froid de canard, mais beau soleil samedi matin au-dessus du haras des Bréviaires à l’occasion de la célébration de la Saint-Hubert, le saint patron des veneurs.

Tout l’équipage de Bonnelles Rambouillet, familles, amis et soutiens de la chasse à courre, ainsi que des représentants de l’État, dont le préfet des Yvelines et le sous-préfet de Rambouillet, étaient présents pour participer à cette messe annuelle où les tuniques rouges coloraient l’assemblée qui a vibré au son des trompes de chasse.

L’occasion pour la maître d’équipage du rallye de Bonnelles, Véronique Nadjahi, de rappeler qu’au départ, la messe de la Saint-Hubert était dédiée aux chiens. « Avant l’arrivée de la pharmacopée, alors que les chiens pouvaient contracter de terribles maladies comme la rage, on appelait sur les chiens la protection du Tout-Puissant. Sans les chiens, le veneur n’est rien. La raison d’être de la chasse à courre, ce sont eux et je tiens à exprimer ma reconnaissance à notre meute. » Une meute composée de Grands Anglo Français tricolores, une race adaptée à la chasse en forêt.

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