Josiane Balasko, Claude Lelouch, Véronique Sanson, Julien Courbet, ils sont 50 à avoir signé une tribune dans le journal « le monde » demandant l’abolition de la chasse à courre.
Quand des « stars » s’engagent, c’est toujours un peu gênant car la première question qui vient à l’esprit c’est : quelle légitimité a cet homme ou cette femme pour parler de tel ou tel sujet ?
Combien sont-ils de signataires à n’avoir jamais participé à une chasse à courre ?
Combien de ces signataires se sont-ils réellement intéressés au sujet pour tenter de se construire une opinion libre ?
Nous vivons une époque binaire. D’un côté le camp du bien qui mange de l’herbe, des racines et des graines, et de l’autre celui du mal qui élève, chasse et tue pour manger de la viande, PARCE QUE C’EST NATUREL. L’Homme mange de la viande comme le loup. Demande-t-on au lynx de ne manger que des feuilles ?
On le regarde faire en disant que c’est dans l’ordre des choses alors, qui y a-t-il de plus naturel qu’une meute de chiens qui court derrière un animal pour le manger ?
La chasse à courre comme décrites par l’auteur de ce papier a tout pour déplaire. C’est le principe même d’une propagande réussie. On ne prend d’une activité, qu’une toute petite part. Cette petite part, on cherche à la rendre indigeste en utilisant des termes lourds pour décrire des choses simples. Le but : jouer sur l’émotion.
« La chasse à courre sème le chaos et la terreur »
À vous que l’on appelle « personnalité », qui employez encore le terme de « pratique féodale » pour parler de vènerie quand « héritage » semble plus approprié, allez voir le brassage et le lien social que la chasse à courre apporte dans nos campagnes.
Vous qui êtes aujourd’hui les barons sans gloire d’une époque sans valeur, quel principe d’éducation donnez-vous à vos enfants ?
Juge d’abord, tu apprendras ensuite ?